Faire et défaire…C’est toujours travailler

 

L’expression a, paraît-il ,une connotation assez négative et dénote d’un certain agacement.
Mais oui, moi aussi parfois je dois défaire et j’en témoigne aujourd’hui parce que ça rassurre les novices (et les autres! 😉 ).
Et je l’avoue, défaire, ça m’exaspère !

Je classifie en 3 niveaux de gravité

selon qu’il s’agit de défaire :

  • quelques points, ça m’arrive relativement couramment, une petite faute d’inattention, juste un petit rappel à l’ordre, je fais marche arrière en toute zénitude et c’est reparti.

 

  • quelques lignes à quelques centimètres, heureusement ça m’arrive beaucoup plus rarement, car là, je sens poindre l’agacement, ce n’est pourtant pas bien grave mais voilà, je n’ai pas la sagesse de Bouddha.

bouddha

Si vous êtes encore régulièrement confrontée au problème, vous pouvez recourir à l’astuce du fil de sécurité. Si vous ne voyez pas de quoi il s’agit demandez à votre ami Google « fil de sécurité tricot », vous trouverez toutes les explications nécessaires.

 

  • tout l’ouvrage quand il est terminé ou presque. Ça m’est arrivé trois fois. Et là on est carrément dans la déception, l’exaspération, le désespoir, l’énervement, enfin, vous m’avez comprise. J’aime pas!!! Le constat est là : c’est terminé mais ça ne va pas du tout. Je défais, je remets tout en pelotes, (tout comme mes nerfs), et je mets de côté pour un moment.
gilet remis en pelotes
il est resté longtemps dans mon armoire mais ça n’avait pas de sens, je ne le mettais jamais…

Jusqu’au jour où le vent tourne et je retrouve l’alignement parfait entre le courage, l’envie et le bon projet pour en faire autre chose. (il peut s’écouler de nombreux mois…)

Envie de partager vos expériences en commentaires ? N’hésitez pas… pour se sentir moins seule face à ces déconvenues.

Faire et défaire…
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