Dans l’enchaînement de mes projets, comme beaucoup de tricoteuses, j’ai pris l’habitude d’instaurer une alternance.

Au départ, face à mon manque d’enthousiasme à faire l’assemblage, j’ai commencé à alterner les ouvrages avec et sans assemblage (donc les pulls ou gilets avec les écharpes ou châles). Avec le tricot en rond, le problème d’assemblage s’est un peu atténué mais satisfaisant ainsi un goût pour le changement, je suis tentée de continuer à procéder à un roulement entre :

  • Les modèles faciles et les modèles difficiles, parce que, après des mètres de jersey en continu on a envie de corser l’exercice. Et ensuite après un schéma complexe, on apprécie une simplicité presque monotone, qui n’est pas pour autant synonyme de résultat sans intérêt. Il y a de très belles choses à faire, même en niveau débutant.

 

2 encours - dentelle et pull en jersey
dentelle et jersey
  • Les nouvelles techniques et la pratique connue. S’essayer à quelque chose de nouveau permet d’élargir les possibilités et peut s’avérer gratifiant. On peut être tentée de se lancer des défis pour ensuite revenir en terrain connu et favoriser la rapidité d’exécution.
  • Le crochet et le tricot. J’aime autant faire l’un que l’autre, mais je tricote plus, simplement parce que je suis plus souvent attirée par des modèles tricotés.

 

tricot et crochet
tricot et crochet

ou encore…

  • les grosseurs de fils
  • le destinataire du projet
  • les gilets et les pulls,…

On peut même avoir plusieurs ouvrages entamés et alterner d’un jour à l’autre.

L’alternance comme levier de motivation, encore une bonne raison d’entretenir une (trop) longue liste d’idées…n’est-ce pas ?

Et vous, quelles sont vos alternances ?

N’hésitez pas à partager en commentaires si vous vous reconnaissez.

Le besoin d’alternance

4 réflexions au sujet de « Le besoin d’alternance »

Les commentaires sont fermés.